À l’orée du temps

À l’orée du temps, c’est quoi?

→ c’est une cantine, un bar et un potager associatif
→ c’est aussi un moment de vie au Domaine de Tizé où l’on prend le temps, un week-end par mois, de se laisser guider pour une exploration patrimoniale, une balade paysagère et poétique dans les prairies et forêts. C’est le temps de rencontres singulières avec les artistes au Domaine de Tizé et l’occasion de boire un verre, de grignoter la cueillette du jour à la cantine associative, et de se rencontrer autour d’un atelier avec un·e artiste.

Nouveau en 2024 !

Tous les jeudis l’association propose à qui le souhaite de venir avec ses cahiers et/ou ordinateurs au Domaine pour une journée de co-boulot bucolique. À 11h, l’équipe organise un café-pro pour permettre aux professionnels de la culture, du spectacle, de l’urbanisme, de l’architecture et de tous les secteurs créatifs de rencontrer les artistes en séjour. À 14h, les visiteur·euses auront l’occasion de boire un café avec les artistes séjournant au Domaine qui partageront avec iels un court aperçu de leur travail.

Les week-ends À l’orée du temps en 2024

27 et 28 avril

25 et 26 mai

29 et 30 juin

27 et 28 juillet

31 août et 1er septembre 
28 et 29 septembre

Samedi
→ 15h-18h
 : goûter, atelier avec un artiste, temps artistique

Dimanche
→ de 12h30 à 14h : brunch*
→ à partir de 14h30 : flânerie poétique, exploration patrimoniale, temps artistique

*Réservation à benoit@auboutduplongeoir.fr

À L’ORÉE DU TEMPS : UN RÉCIT QUI S’ÉCRIT ENSEMBLE

Tous les mois, les artistes, les explorateurices, les cultivateurices, les visiteureurses, les passant·es et toute la faune et la flore de Tizé se retrouvent À l’orée du temps pour partager ensemble un week-end d’art et de rencontre. Chaque week-end est comme le chapitre d’une histoire qui se trame en commun entre le programme et les imprévus, les rituels et les surprises, ce qu’on attend et ce qui surgit, dans une porosité avec ce qui nous entoure : la chaleur, les pierres, le soleil, la prairie, le vent, la pluie, le froid, et tout ce qui vit, ici.

Dans un monde qui se rétrécit où il est important de faire advenir une multiplicité de récits, nous proposons ici de raconter le notre, modestement.

Réenchanter des possibles (dit, Benjamin Roux*), diffracter l’expérience, décaler les manières de voir et de se rencontrer : c’est cela qui motive l’écriture de notre histoire.

*Benjamin Roux, L’art de conter nos expériences collectives, Rennes : Les éditions du commun, 2018.